Tabac, alcool :

où en suis-je ?

 

Tabac et alcool : auto-évaluation
Où en sont ma liberté et ma santé ?

Révision : 06.07.2013         Translate

 

Trois points essentiels :

• Questionnaire à emmener chez moi et seulement pour moi.
• Me libérer du tabac ? Suis-je motivé ? Qui pourrait m’aider ?
• Me libérer de l’alcool ? Le questionnaire commence par le pire et il finisse par les questions   que tout le monde se pose.

 
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Tabac, alcool où en suis-je ?

Pour savoir s’il sera difficile de me libérer du tabac,
   l’indice le plus sûr est le nombre de minutes
    entre mon réveil et ma première cigarette.
Une fois accroché, il sera vain
   de fumer modérément, définitivement.
Au sujet des boissons alcoolisées, ce questionnaire
   commence par le pire et finit par les questions
   que tout le monde se pose.

TABAC : Où en suis-je ?

• Des avertissements ?

- Mon souffle : déjà court ?
- Le parfum d'une fleur,
   la saveur d'une tomate : envolés ?
- Le plaisir à fumer : plus ou moins perdu ?
- Le manque me rend-il irritable ? 
- Toujours à craindre d'être à court de tabac ?

- Mon teint : fané ? Ma voix : éraillée ?
- Mes gencives en mauvais état ?
- Tabac + pilule ? Risque d'embolie.
- Fécondité en panne ? Défaillances masculines ?
- Projet de grossesse : idéal pour cesser le tabac.
- Enceinte ? Risques de naissance
   prématurée ;  debec- de-lièvre ?
- Ménopause précoce, ostéoporose ? 

- Bronchite chronique : essoufflement,   toux,  crachats sanglants ou non,   congestion pulmonaires, étouffement croissant ? 
- Cancer, surveiller : poumon,
   oesophage (passage des grosses  bouchées),     gorge, langue, vessie ?

- Infarctus, hypertension, palpitations ? 
- Artères obstruées des pieds ou des doigts ?
- Rechutes d'ulcère du duodenum ?

- Vision affaiblie des couleurs : vert, rose ?

• Me libérer : facile ou pas ?

- À quelle heure, la première cigarette ?
- Anxiété ou déprime calmée par le tabac ?
- État de manque en cas d'arrêt : difficulté à me
   concentrer, insomnie, anxiété
   irritabilité, dépression ?
- Combien de cigarettes par jour ?
- Est-ce que j'inhale la fumée ?
- Une autre dépendance,
   par exemple aux jeux de hasard ?

• Ma propre expérience ?
- Qu'est-ce qui a le moins mal marché :
   stop… ou diminuer ?

- La dépendance, c'est l'incapacité
   de rester modéré. C'est définitif.

• Suis-je motivé ?

- Ma liberté ? Enfants et conjoint enfumés ?
   Mégots dangereux pour les enfants ? Mon sport ?
   Le coût ? Une grossesse ? La pollution ?
- La pollution est la première cause des maladies
   et des décès prématurés, mais quelle pollution ?
   On préfère crier contre la pollution par les autres
-  La quasi-totalité des pollutions 
   dangereuses sont- elles celles que je m'inflige
   à moi-même par le trop : trop  dans mon  cendrier,
   peut-être aussi mon verre, mon assiette, 
   mon carburateur et mon armoire à pharmacie ?


- Réellement envie d'arrêter ? 
- Si j'arrête, cela valoriserait-il mon image ?
- Suis-je convaincu que j'y réussirai
- Et que je tiendrai plus de six mois ? 

Mon entourage
  et mon médecin m'aideront-ils ?

- En éloignant les fumeurs et les buveurs excessifs ?
- En m'aidant à repérer mes autres tentations ?
- Si je peux m'empêcher de prendre du poids ?
- En cas de contrariétés, de conflits, de dépression ?
- En cas de rechute, si je me décourage ?

- Dès l'instant où mon choix sera d'arrêter,
   je ne finirai pas les paquets en train : poubelle !
   En 3 jours, je serai moins essoufflé,
   En 15 jours, la toux s'en ira.
   J'économiserai 2.000 euros par an,
   rien qu'en tabac.

• Enfin, respirer la fumée des autres,
   c'est le "tabagisme passif".
- Pour les enfants :
un risque accru d'asthme,   de bronchites, d'otites et même de mort subite.
- Pour les adultes : un risque accru d'infarctus.


ALCOOL ?

Ces questions ne regardent que moi.
Elles commencent par le pire.  
Elles finissent par les questions
   que tout le monde se pose.

Par conséquent, à moi de commencer
   cette lecture par les passages
   qui peuvent me concerner ;

- Une souffrance de manque ?
- Pas sûr d’être accroché ?
- Si je viens de décrocher ?
- Si je ne suis pas encore accroché ?
- Si je consomme modérément ?

1, UNE SOUFFRANCE DE MANQUE ? 

• L’état de manque, au réveil ?

- Tremblement ?
- Angoisse de mort ?
- Sueurs, nausées, vomissements
   (Le tout calmé par un ou deux verres) ?
- Après une nuit de cauchemars ?

• Et pendant le reste des journées ?

- Être obsédé par l'approvisionnement en alcool ?
- Continuer malgré les dégâts et les dépenses ?
- Négliger mes autres priorités ?
- Envies folles d'alcool, par moments ?

Mes souffrances autres que le manque ?

- Perte du plaisir à boire ou après boire ?
   (ne plus boire que pour me sentir moins mal ?) 
   La perte du plaisir est définitive.
- Me reste-t-il aucune émotion positive ?   
- Nier, cacher : à autrui ? À moi-même ?
- Fâché, violent contre moi-même, autrui ?
   Devenu jaloux ?
   De l'engrenage de l'alcool à  l'engrenage  de   la  violence ?
- Où en sont mes relations avec mes proches ?
- En suis-je arrivé à ne même plus tenir l’alcool ?

Ma vie affective ?

- Ruptures affectives, professionnelles ? 
- Souffrance d'être esclave ? Qualité de ma vie ? 
- Idées ou tentative de suicide ?
- Surendettement… Bagarres… Violences…
   Incendie…  Arrestation… Incarcération… ?

• Tout compte fait,
   suis-je malade de l'alcool ? 
- Suis-je convaincu à 90% qu'il y a quelque
   chose à changer dans ce que je bois 
?
- "Guéguerre" à cesser avec mon entourage ? 
- Projet avec mon médecin ? Pourquoi,
  Cesser de souffrir ? Retrouver ma liberté ?

• Accepter d'être aidé : je suis seul à
   pouvoir  m'arrêter, mais pas tout seul ! 

- Ai-je rencontré une personne rétablie d'alcool ?
- Ai-je été content des groupes d'entraide ?
   Assidu aux réunions ?  Hospitalisé ?
- M'arrêter de boire à domicile est possible.

- Rechute après m'être arrêté ? Entre le premier
   verre et la galère du manque, combien de jours ?

•••••••••••••••••••••••••••••

2, PAS SÛR D'ÊTRE ACCROCHÉ ?

• En l'absence de manque matinal :

- Obligé d'augmenter la dose pour obtenir l'effet ?
   (C'est déjà une perte de liberté)
- Liberté perdue de m'arrêter après le second
   ou le troisième verre, les jours ordinaires ?
  (Cette perte de liberté, la première étape
   dans la dépendance alcoolique)

- Pris dans un engrenage par l'alcool ?
- Qui est le plus fort,moi ou la bouteille ?
   Alors, ma liberté ?

• Mes coups durs et prises de risques ?

-
Conduites risquées sur la route, au travail ?
- Absentéisme, arrêts de travail ?
- Comportements sexuels à risques ?
- Ivresses aggravées ?

- Coeur (infarctus n° 1). Angine de poitrine,
   hypertension, palpitations, essoufflement ? 
- Risque de cancer si je suis aussi fumeur ?
- État général et digestif : perte d'appétit
   annonciatrice  de cirrhose, yeux jaunes ? 
- Atteinte du système nerveux :
   muscles douloureux, faibles,
   pertes de mémoire,
   vision des couleurs altérée, ? 
- Dents négligées ?
- Grossesse arrosée suivie d'enfant handicapé ?

• Mon passé ?

- À quel âge ai-je dérapé des consommations ? 
- Entre l'âge où j'ai bu comme tout le monde
   et l'âge où le  manque est apparu,
   combien d'années ?
- Un passé de delirium tremens, convulsions ?
- Me suis-je bourré de tranquillisants, qui
   enlèvent toute énergie, y compris pour en sortir ? 

• Stop ou modération ?

Après avoir longuement soigné toutes sortes de
   buveurs à la Fondation des Addictions (Toronto,
   Canada), le docteur Martha Sanchez-Craig précise
   qui peut réussir la modération :

• Commencer par deux semaines de vie hors alcool, au cours desquelles aucun signe de l’état de manque ne doit apparaître. Sinon, la modération ne sera plus jamais à portée.

• Être capable de s’abstenir trois jours par semaine.

• Pas plus de seize verres par semaine pour un homme et douze pour une femme.

• Pas plus de quatre verres (de 125 ml, pour le vin) dans une journée. Pour une femme, pas plus de trois.

• Dans ce cadre, pas plus d’un verre par heure.

• Ne jamais boire seul.
• Ne jamais boire pour noyer un chagrin.
• Ne jamais utiliser l’alcool comme   médicament (les trois clignotants rouges).

L’auteur insiste : La consommation réelle de nos
   clients qui ont réussi à devenir des buveurs
   modérés était de moins de seize verres / semaine.

Rappelons que ces directives ne s’adressent ni à la   population générale, ni aux rétablis après   dépendance, mais aux gros buveurs.

••••••••••••••••••••••••••••

3. SI JE VIENS DE DÉCROCHER ?

• Heureux !

- Si je viens de décrocher, dire partout
   combien je suis  heureux d’être libéré ;
   et combien j’étais malheureux
   quand j’étais malade de l’alcool.

Une impression de vie saine ?

  Suis-je libéré des tremblements, insomnies,
   fatigue, risques d’accidents ?
  La mémoire me revient-elle ?
  Capable de reconstruire des amitiés ?
  De revivre un amour ? 

Suis-je motivé pour tenir bon ?

- En cas d'hospitalisation, contacts à garder,
  au  téléphone, le jour de la sortie et les suivants.

- Passé le sevrage, l'alcool restera dans ma tête
  au moins deux mois et les tentations reviendront.

- Ai-je compris que la rechute serait foudroyante
   en  cas de réalcoolisation, même après 20 ans ?
   Et que le plaisir est perdu à jamais ?

- Une fois décroché,
  
on ne se rétablit qu'en groupe.
- Serai-je assidu aux réunions du groupe
   et aux consultations ?

• Tentations qui reviennent du dehors ?  

- Violences familiales ? Solitude ?
- Déceptions, séparations, deuils ?
- Conflits, soucis, harcèlement au travail,
   mise au chômage, retraite mal vécue ?

- Logement pénible ou perdu ? 
- Habitudes familiales ?  Désinformation ?
- Ai-je été initié très jeune à l'alcool ?  

• Tentations qui reviennent du dedans ? 

- Caractère supportant mal les frustrations ?
- Impulsif ? Trop de goût pour les risques ?

- Ai-je souffert de dépression ou d'angoisses :
   avant, pendant ou après ma dépendance ?
- Ivresses fréquentes dès l'adolescence ?    
- Une autre toxicomanie ?

- Une maladie éprouvante ?
- Une insomnie ?

• Quand suis-je tenté ? (hors état de manque)

- Alcool à portée de main. Fêtes…?
- Entraînement par les camarades, maladresse
   pour refuser le premier verre en trop ?
- Ai-je repéré ces circonstances ?
- Ai-je imaginé des solutions pour y faire face ?

• Mes objectifs pour l'avenir ? Au bout
   de 12 à 15 mois : liberté et confiance ?

• Ma liberté ?

- Une impression de liberté complète ?
   Si oui, quels sont les mots que je trouve
   pour exprimer cette  liberté ?

• Confiant en moi-même ?

- Sorti de la dépression, des idées suicidaires ?
- Bon sommeil ?
- Remonté dans l'estime de moi-même ? 
- Capable de faire face aux contrariétés,
   à mes  émotions  et à mes impulsions ?
- Capable de me fixer des objectifs réalistes ? 

• Confiant en mes proches ?

- Redevenu capable de communiquer avec eux ?
- Amitiés ? Amour ?

••••••••••••••••••••••••••••

4, SI JE NE SUIS PAS ENCORE ACCROCHÉ, QUEL CHOIX ?

M'appuyer sur ma propre expérience
   de gros buveur et sur l'avis de mon médecin.

• Mon expérience, après boire ?

- Suis-je plus optimiste ?
- Moins timide ?
- Suis-je plus attractif ?
- Mes soucis s'envolent-ils ?
- Suis-je plus entreprenant ?
- Est-ce que je m'endors plus facilement ?


• Mais…

- Davantage de risques en conduisant ?
- Plus de peine à me concentrer ?
- Mes performances : moins splendides ?
- Mon humeur : plus agressive ?
- Un risque de faire mauvaise impression ?
- En train de devenir accroché ?
- Hypertension artérielle ?
- D'autres risques pour ma santé ?

• Et si je changeais mes habitudes ?

- Me sentirais-je tendu, anxieux ?
- Serais-je moins brillant ?
- Les fêtes seraient-elles moins drôles ?
- Serais-je plus énervé par les coups durs ?
- Perdrais-je un plaisir ?

• Mais…

- Conduirais-je moins dangereusement ?
- Pas de gueule de bois ?
- Un meilleur sommeil ?
- Donnerais-je une meilleure image de moi ?
- Me ferait-on moins de remarques en famille ?
- En temps ordinaire, serais-je mieux en forme ?
- Me resterait-il davantage pour d'autres dépenses ?

• Si je suis adolescent, le questionnaire CRAFFT    ci-dessous m'aide à faire le point :
- Suis-je déjà monté sur un véhicule conduit par   quelqu'un (y compris moi) qui avait trop bu
   ou qui  était défoncé ?
- Est-ce que je prend ou une drogue pour me
   détendre, me sentir mieux ou pour tenir le coup ?
- Est-ce que j'en consomme quand je suis seul ?
- Alcool ou drogues m'ont-ils fait oublier ?
   Ou fait faire des choses à éviter ?
- Des amis ou ma famille m'ont-ils dit que je 
   ferais mieux de réduire mes consommations ?
- Ai-je eu des problèmes après avoir consommé ?

• Si je m'enivre par intermittences
   tandis que je reste facilement
   plusieurs journées d'affilée sans alcool ?
Durant ces accès “compulsifs", je suis incapable de
   modération.
Ils sont à considérer comme des "accès de
   dépendance", au cours desquels
   la modération n'est plus à espérer.
Si ces ivresses sont fréquentes, la modération
   n'est probablement plus pour moi.
Je ne suis donc pas concerné par la suite.

Si je choisis de modérer, voici comment
   ont fait ceux qui ont réussi
(Sanchez-Craig) :      ci-dessus

• Me préparer à refuser poliment et joyeusement
   le premier verre en trop.
- Si j'ai un chagrin, ne jamais boire pour le noyer. 
- Jamais d'alcool comme médicament.
- Ne jamais boire seul.
- Aucun risque pour mon permis de conduire ! 

• Si je réussis, je risquerai moins d'accidents et
   de journées d'hôpital ;  et je resterai libre.

•••••••••••••••••••••••
5, SI JE CONSOMME MODÉRÉMENT
 ?

"Modérément" veut dire ici que d'ordinaire je sais
   m'arrêter après le second
   ou le troisième verre.

• Combien boire, sans risque au volant ?

• Un verre au comptoir, bière, vin, apéritif, pastis,
   est même quantité d'alcool, environ 11 grammes.   
   Je peux donc compter en verres. 

Trois verres suffisent pour que mon haleine
   dénote 0,50 gramme d'alcool par litre de sang.
  Cela suffit pour rendre dangereuse la conduite
   des véhicules, sans que je m'en rende compte ; 
   et  pour qu'une infraction soit constatée. 

- Pour diminuer mon alcoolémie d'un gramme par
   litre, il faudrait que j'attende au moins six heures :
   une heure par verre en trop !

- Une fête réussie, pour moi, ça veut dire combien
   de verres ? Quels risques, sur la route ?
    Quels risques aussi de grossesse
   et de contamination dans l'ivresse ?

-----------------------------------------

• Combien boire sans risque ?

Aucune réponse n'est valable pour
   tout le monde
parce qu'il y a des cas
   où il faut vivre hors alcool :
   par exemple certains sports,
   certains médicaments, la dépression,  
   l'épilepsie, les hépatites,
   la grossesse, un passé de dépendance
   alcoolique ou de toxicomanie.
Les conducteurs de véhicules ou machines doivent
   s'abstenir d'alcool dans certains cas.
Eviter de boire si l'on doit prendre d'importantes
   décision ou si l'on est responsable
   de la sécurité d'autres personnes.

Ce n'est donc pas la télévision
  qui vous guide combien, c'est le médecin.

Prudemment, des habitudes saines :
- Le premier verre : sans alcool,
- Après le travail, attention aux tentations…

----------------------------------------

• Un verre de vin par jour :
   bon pour ma santé?


Si d'autres catégories d'abstinents avaient
   une espérance de vie amoindrie, cela semble
   dû à d'autres causes qu'à leur abstinence.
Toutefois, le risque serait atteint de maladie
   d'Alzheimer (Ruitenberg, Letenneur).
Le risque de diabète lié à l'obésité serait   
   diminué de 30% (Koppes).
Pour les spécialistes de l'Alzheimer comme
   l'American Diabetes Association, ce n'est
   pas un motif suffisant pour conseiller de l'alcool.

En effet, les médecins ont cessé de conseiller
   le vin à ceux qui n'en boivent pas,
   parce que personne ne sait jusqu'où cela ira.

À moi de me déterminer !

extrait de :  http://goo.gl/ngM19

 
 

RÉFÉRENCES

autres que celles du livre :   Drogues, alcool : en parler en famille
et de la Page : Tabagisme : parler en famille au fumeur adulte

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Par exemple, inscrire Schmidtke A 1988
Le Résumé s’affiche aussitôt, avec souvent l’adresse e-mail de l’auteur. Celle-ci vous permet de lui demander le texte in-extenso de son article en pièce jointe (“attached file”) à un courriel.


- Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), Groupe d’auteurs. Les stratégies thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses de l’aide à l’arrêt du tabac. Alcoologie et Addictologie 2003; 25 (Suppl 2): 1S-42S, avec 105 références bibliographiques
- American Diabetes Association. Nutrition. Recommendations and Interventions for Diabetes. A position statement of the American Diabetes Association. Diabetes Care2008; 31:S61-S78
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- Foster JH, Powell JE, Marshall EJ, Peters TJ. Quality of life in alcohol-dependent subjects - a review. Quality of Life Res 1999; 8: 255-261
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- Grangé G. Fécondité et grossesses à risque des fumeuses. Concours Médical 2004; 126 (34): 1970-1972
-Heather N, Kisson-Singh J, Fenton GW. Assisted natural recovery from alcohol problems: effects of a self-help manual with and without supplementary telephone contact. Brit J Addict 1990; 85: 1177-1185
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- Letenneur L. Risk of dementia and alcohol and wine consumption: a review of recent results. Biol Res 2004;37(2):189-193
- Lukasiewicz M, Benyamina A, Frenoy-Peres M, Reynaud M. L'entretien motivationnel. I- Les bases théoriques. Alcoologie & Addictologie 2006; 28(2): 155-162
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- Miller WR, Munoz RF: How to control your drinking. Englewood Cliffs (USA),   PrenticeHall, 1976

- Miller WR. Enhancing motivation for change in substance abuse treatment. Rockville, MD, US Dept health Human Serv, Center Subst Abuse Treatm, 1999
- Raphaël F, Steyer E, Paille F. Réussir son arrêt du tabac : rôle du généraliste dans la prévention de la rechute. Concours Méd 2005; 127 (3): 141-143
- Ruitenberg A, van Swieten JC, Witteman JC, Mehta KM, van Duijn CM, Hofman A, Breteler MM. Alcohol consumption and risk of dementia: the Rotterdam Study. Lancet. 2002;359(9303):281-286
- Sanchez-Craig M: C'est assez ! Comment arrêter de boire ou réduire votre consommation d'alcool. Toronto, Addiction Research Foundation 1994

- Welsh J, Buchsbaum D, Kaplan C. Quality of life of alcoholics and non alcoholics: does excessive drinking make a difference in an urban setting? Qual Life Res 1992; 2: 335-340

 
   
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