L'enfant d'alcoolique
 

Cet enfant souffre et court de grands risques.

L’aider est difficile.

Révision : 06.07.2013                Translate

 
 

Sept points essentiels :

• Cet enfant est nombreux.
• Il souffre : peur, honte, dissimulation imposée, sentiment d'abandon.

• Les clés lui manquent pour comprendre ce qui arrive à la famille.


Il risque plus tard d'être accroché à l'alcool et aux drogues ; et de devenir un délinquant.
Heureusement, il peut aussi devenir un adulte courageux et responsable.
• L’infirmière scolaire est la mieux placée pour lui faire parvenir une aide.
• Plusieurs voies de prévention sont proposées.

 
Ecrire : fbesan puis ajouter @gmail.com
 

Nous passerons sur ce qui est terrible :

• La maltraitance mettant la vie en danger (livres de Dave Pelzer et
Tim Guénard), et pas seulement dans les familles recomposées.

• Quant à la détérioration cérébrale de l'embryo-fœtopathie alcoolique, à cause des canettes de bière en trop de sa mère enceintes, ce n’est une violence ni dans le style, ni dans l’intention mais la violence est dans le résultat : c'est un quart des handicapés mentaux, et c’est incurable.

• D'innombrables enfants sont rejetés à la rue par leurs mères alcooliques et toxicomanes, de l'Afrique aux pays baltes et des Philippines à l'Amérique latine.
Leur lot est l'abus sexuel, les coups, les drogues, d'affreuses prisons et bientôt la mort.

Cette Page se limitera au vécu habituel de l'enfant auprès d'un parent malade de l'alcool.

Cet enfant est nombreux : la France compte 1 à 2 millions de ces malades, dont la moitié ont moins de 32 ans, donc en âge d’avoir des enfants à la maison. Leurs familles sont plus nombreuses que les autres.

 

Alcoolique (Malade de l'alcool) : la souffrance quotidienne de l'enfant,
  vue au Canada par Paulette Chayer Gelineau et Fabienne Moreau dans leur clientèle :

- La peur : peur quand l'alcoolique ne rentre pas le soir,
  peur aussi quand il rentre : avec ses violences verbales et physiques;

- La honte : le respect a disparu dans la famille,
  chacun se croit coupable à force d’être accusé,
  et chacun craint la honte pour la  réputation du malade et de la famille ;

- L’échec est permanent. Les espoirs de changement et l’élan de vivre sont déçus tous les jours,

- L’enfant vit privé de sécurité, privé d’affection, privé de sa spontanéité,
  privé d’exprimer ses sentiments négatifs ou positifs,
  privé souvent de saine alimentation et de sommeil tranquille.

- L’enfant est trop laissé à lui-même, parce que l’autre parent tolère, ou qu’il boit à son tour, ou qu’il est parti,  ou simplement qu’il est trop accaparé par son propre chagrin.

“L’enfant n’a pas le droit d’être un enfant.”

• Les dégâts de la dissimulation imposée  sont quotidiens :

- À la maison, chacun minimise et excuse les comportements du malade, disant : “C’est une façon pour lui de se détendre”.

- On cache et on répare les dégâts matériels,

- On ne répond pas aux scènes de jalousie insensée et autres accusations injustes : c’est la loi du silence.

- À l’extérieur, si on parle, c’est pour mentir, excuser l’absentéisme et les autres manquements du malade.

- L’enfant remarque qu’il est puni pour des riens quand le malade, lui, n’est jamais puni.

"Ce qui est faux devient le réel."
C’est l’empire du faux,
comme celui dont Soljenitsyne a crié la violence et comme celui que les Français ont subi durant l’invasion.

Il souffre de la lâcheté de son autre parent.

L'enfant est blessé à l’intime :
- blessé dans son sens de la justice et du respect,
  blessé dans son sens de la vérité, son désir de comprendre, son estime de soi.

L’enfant peut se croire coupable d’avoir échoué à guérir son parent malade ; et encore plus coupable quand ce malade allègue qu’il boit pour se consoler des bêtises de l'enfant.

S’il est croyant, l’enfant est-il blessé dans sa prière, entachée de culpabilité abusive ?
Dire merci à Dieu est-il évident pour qui se croit abandonné ?
La prière de demande a pu régresser en vaine demande de miracle.
L’enfant n’a aucune clé pour accompagner la prière d’aucun de ses deux parents, prière plus fréquente qu’on ne croit.

Le sentiment d’être abandonné et pas aimé est terrible parce que l’enfant a moins peur de la mort que d’être abandonné.
Le risque d'abandon, parfois à la rue, se réalise si la mère devient buveuse, est hospitalisée ou décède.

Doutant de lui-même, l'enfant est menacé de dépression, dont le premier signe sera l’effondrement des notes scolaires.

 

• Alcoolique (Malade de l'alcool) : l’incompréhensible pour l'enfant

Les clés manquent à l’enfant pour comprendre :

• Comprendre le cercle vicieux de l’alcool bu pour fuir les soucis,
soucis qui reviennent pires avec le manque ;
alcool rebu pour nier la réalité par de nouvelles réactions de fuite.

• Les problèmes s’aggravant, les proches en sont rendus responsables. Ils sont menacés de violences s’ils racontaient ce soi-disant mensonge insoutenable que le buveur boit.
Rappelons les raclées subies par Dave Pelzer et Tim Guénard, avec près de trois ans d’hôpital.

• Quant aux autres mensonges, puants, du malade, il est interdit de les lui démentir sous peine de coups dans un flot de vociférations.

• Aucune clé pour comprendre l’alternance de haine, d’attachement et d’indifférence : "Il est le meilleur des pères quand il ne boit pas."

• Aucune clé pour deviner la souffrance réelle du malade lors du manque matinal :
c’est une angoisse de mort dont il ne parle jamais, tandis que chacun est décontenancé par ce qu’il se plaint de tout et de rien.

• Aucune clé pour comprendre qu’étant humilié par son impuissance face à la bouteille, le malade surcompense en humiliant son entourage et en se gargarisant d’orgueil insensé. Finalement, il ne lui reste plus aucune émotion positive, il lui reste la haine.

• Aucune clé enfin pour deviner sa terreur qu’intervienne un placement judiciaire de ses enfants, placement ressenti comme injuste, et qui aggraverait l’alcoolisation.

Dans son désarroi, l'enfant manifeste un caractère instable.
Il cherche sa voie, son rôle, par exemple :

Héros familial, hypermature, voué à aider ;
Enfant perdu, dépressif, qui se réfugie dans le rêve ;
Bouc émissaire, révolté, agressif, prédélinquant ou délinquant
    comme Tim Guénard

Mascotte, qui essaye d'arranger les choses, faisant le clown au besoin.
Il se laisse parfois acheter par le buveur, à coup d'argent ou de permissions.
Décentré de lui-même, il risque de rester immature (Mac Donald 1986).

• Alcoolique (Malade de l'alcool) : l’avenir éloigné de l'enfant

L'ivresse d'un enfant est dangereuse par l'hypoglycémie associée qui peut laisser comme séquelle une démence..

Exposé ou non à être initié précocement à l'alcool, l'enfant a un risque accru de devenir plus tard dépendant de l'alcool et des drogues, surtout s'il a souffert d'un "déficit de l'attention avec hyperactivité" (Ohlmeier), handicap mental de l'embryo-foetopathie alcoolique, et des carences éducatives liées à l'alcoolisme parental (Toutain).

Le jeune se méfiera de l’amour, comme Tim Guénard, il se méfiera des autres et de lui-même, jusqu’à la peur de réussir, la névrose d’échec.
Il pourrait s'imaginer qu'il faut avoir mal pour être aimé, rejoignant un mythe romantique.
Cela l’exposerait à choisir des partenaires violents.

Élevé dans une ambiance d’irrespect, il risque plus qu’un autre de devenir délinquant à son tour :
- fille souvent victime d’inceste, et qui risque la prostitution, les drogues, l’alcool, le suicide ;
- garçon qui a souffert par l’alcool et qui sera vulnérable à l’alcool.

Au maximum, il sera le tueur en série Patrice A…, dont les deux parents étaient malades de l'alcool : la mère, idéalisée et adorée et le père haï, lui, comme violent et menteur.

Mais attention : ce risque de délinquance future n'est qu'une probabilité, nullement une fatalité.

• Alcoolique (Malade de l'alcool) : de l'espoir pour l'enfant

Au Canada, Paulette et Fabienne ont mis à jour “l’héritage positif” de certains de ces enfants.
Leurs épreuves en font des adultes courageux, tenaces, démerdards et pleins de sang-froid dans les situations difficiles.

Perfectionnistes, acharnés à comprendre, ils aident les autres à trouver des solutions et on leur confie des responsabilités.

Ces observations rares mais précieuses, comme les vies de Dave Pelzer et de Tim Guénard, devenu plus fort que la haine, témoignent de la capacité de "résilience" de l'enfant.

Le malade de l'alcool peut se rétablir, ce qui le métamorphosera : il manifestera alors souvent un besoin et une capacité d’affection qui feront les délices de ses proches.

 

• Alcoolique (Malade de l'alcool) : intervenir en faveur de l'enfant ?

Quelle aide proposer ?
Suis-je capable d'intervenir ? Ai-je le droit de m'en mêler ? Comment ?

Capable d'intervenir ? Au professionnel de compléter sa formation initiale.
Au bénévole de se former : comme le répète le Dr. Philippe Michaud, généraliste et alcoologue, c’est l’affaire de la communauté dans son ensemble de devenir compétente
.

Le droit de m’en mêler ? Il faut que l’enfant accepte de parler de sa souffrance.

C’est au conjoint sobre, piloté par le “groupe d’entourage” d'une association comme Alcool Assistance Croix d'Or ou AlAnon et par le professionnel de la consultation d’addictologie, de cesser de camoufler le problème, d’amener l’enfant à s’exprimer et de rechercher ensemble ce qui serait le mieux pour lui.

Il passe alors la main au professionnel, addictologue ou pédo-psychiatre.
En cas d’échec, c’est un devoir de s’en mêler tant sont grands les risques pour les personnes (inceste compris) et pour le couple.

Si vous n'êtes pas mis hors de combat dans une guéguerre avec le malade de l'alcool, n'ayez pas peur de lui demander s'il ne souffre pas d'être en difficulté avec l'alcool. Dans bien des cas, il n'attend que ça. Par exemple, ces personnes se dévoilent volontiers quand on les appelle au téléphone automatiquement ou quand les journaux passent des annonces (Berglund)

Quand on arrive à traiter le parent malade, l'enfant en bénéficie (Andreas)

Comment intervenir ?

D'une cabine téléphonique, l'enfant seul ou accompagné peut appeler anonymement
"Jeunes violence écoute" au numéro gratuit 0800 20 22 23.
Cet appel ne sera inscrit sur aucune facture.

Beaucoup de professionnels de l’enfance servent des administrations peu habituées à coopérer. Ils sont peu familiers de la souffrance de ces enfants.
Il semble que l'infirmière scolaire soit la mieux placée pour deviner la souffrance et pour en obtenir la confidence.

À Clichy, un groupe de l'UTAMA est à la disposition de ces enfants, non sans que le parent sobre comme le malade résistent à l'assiduité au groupe de parole.

À Gennevilliers, il a fallu quatre années au Dr. Philippe Michaud pour apprivoiser les administrations et les amener à coopérer avec des bénévoles formés. Il a rendu "la communauté dans son ensemble capable d'affronter cette réalité". Le recrutement est venu du CSAPA (Centres de Soins d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie) et des infirmières scolaires. Il a fallu décider les parents à amener leurs enfants à des lieux d'écoute et de parole.

En région parisienne, contacter le Centre Magellan Tél 01 42 29 14 26,
Courriel : inscrire  contact et ajouter : @centre-magellan.com
D’autres initiatives émanent de bénévoles. À Fécamp et au Havre, un AA et un Al-Anon animent les groupes.


« J’ai l’impression que tu es en difficulté parce qu’il y a trop d’alcool dans la famille. »
Cette entrée en matière, que l’enfant attendait depuis longtemps, le soulage. L'enfants, surtout jeune, parle beaucoup. Il aime et protège le malade.
En cas de blocage, on recourt à des contes ou au matériel des psychologues comme les masques, foulards, nounours.

On peut demander à l'enfant de faire un dessin représentant une famille où "quelqu'un boit trop". Le médecin du travail d'une entreprise métallurgique a montré l'effet saisissant de ces dessins sur le personnel :
Intoxications, addictions et sécurité au travail

Il faut accepter l’agressivité, déculpabiliser, repérer les dépressions vraies, rassurer, expliquer la maladie, annoncer la beauté des rétablissements, rassurer devant les rechutes, ramener l'enfant aux plaisirs de son âge.

S'il est adolescent, il a le droit de dire à sa mère ou à son père : « Je sens que tu es en difficulté avec l'alcool et et nous attendons tous que tu te libères. »
Par contre, il ne doit pas s'impliquer dans les querelles entre ses parents (Benyamina).

Les groupes Alateen sont très peu nombreux, peut-être parce que leur langage et leurs objectifs sont trop ceux des adultes.

La maltraitance est affaire de contact avec le médecin ou l’assistant de service social.

Le placement de l'enfant a été nécessaire dans un tiers des familles. Les difficultés comportementales ultérieures ont alors été moindres qu'en l'absence de placement (Dumaret). Le malade de l'alcool est désespéré par l'indispensable placement, ce qui peut aggraver sa dépendance.

• Alcoolique (Malade de l'alcool) : prévenir ces souffrances d'enfants

Il est des messages précis pour l’école et les familles.

• À l'école, au Danemark et en Angleterre les jeux de rôles facilitent le dépistage des maltraitances.
L’entraînement des petits bouts de choux à faire face
à leurs gros chagrins vise à prévenir les futures réactions de fuite vers l’alcool, les drogues ou le suicide.

En famille, c’est dès le début du dérapage dans l’alcool que les proches peuvent jouer un rôle efficace. Voir la Page Parler au buveur qui n'est pas encore accroché

Le 9° mois de la grossesse est un moment clé, c’est souvent le premier moment où une femme écoute des conseils depuis sa pré-adolescence.

C’est l'occasion de lui murmurer qu’elle ne serait pas ravie de voir son bébé estropié dans une voiture conduite en alcoolémie ; ou de voir le père du bébé licencié à cause de son alcool ; ou de voir son enfant grandir dans une famille dévastée par l’alcool et la drogue.

Plus tard, le conjoint pourra s'inspirer de la Page
Alcoolisme : former les entourages des buveurs excessifs

Enfin, il arrive qu'un divorcé d'alcoolique en charge d'enfant souhaite fonder un nouveau ménage avec une personne en difficulté avec l'alcool. Un rétablissement est possible, mais c'est loin d'être certain. Que l'intérêt de l'enfant ne soit pas oublié !

Des informations complémentaires se trouvent dans la Page :
Alcoolisme : parler en famille
 

Références

- Chayer Gélineau P, Moreau F: Guérir d'un parent alcoolique. Outremont-Québec, Novalis 1998
- Pelzer D: Le moins que rien. Paris, Lattès 2001
- Guénard T: Plus fort que la haine. Paris, J'ai lu 2000
- Guénard T: Tagueurs d'espérance? Paris, Presses de la Renaissance 2001

Vous êtes dispensé de vous rendre en bibliothèque pour consulter la plupart des références citées dans ce site. Depuis 1966, plus de mille périodiques de sciences médicales sont accessibles grâce à Medline-Pubmed. Si une citation vous intéresse, vérifier qu'en haut et à gauche le cadre Search contient Pubmed. Dans le cadre suivant, inscrire le nom du premier auteur suivi de sa ou ses initiales ; facultativement le nom du second auteur ; enfin l'année.
Par exemple, inscrire Schmidtke A 1988
Le Résumé s’affiche aussitôt, avec souvent l’adresse e-mail de l’auteur. Celle-ci vous permet de lui demander le texte in-extenso de son article en pièce jointe (“attached file”) à un courriel.


- Andreas JB, O'Farrell TJ, Fals-Stewart W. Does individual treatment for alcoholic fathers benefit their children? A longitudinal assessment.  J Consult Clin Psychol 2006 Feb;74(1):191-198
- Benyamina A, Reynaud M. Le cannabis et les autres drogues. Paris, Solar 2005
- Berglund K, Fahlke C, Berggren U, Eriksson M, Balldin J. Individuals with excessive alcohol intake recruited by advertisement: demographic and clinical characteristics. Alcohol Alcohol. 2006 Mar-Apr;41(2):200-204
- Besançon F, Romelsjö A : Alcool : et le père du fœtus ? Dossiers de l’Obstetrique 1998; 25 (267): 36
- Bourgeois M, Lavigneron M, Delage H: Les enfants d'alcooliques. Une enquête sur 66 enfants   d'alcooliques d'un service pédo-psychiatrique. Ann Médic psych 1975; 3 (3):   592-609
- Casselman J, Solms H: Le milieu familial de l'alcoolique : présentation bibliographique. Inform   Psychiatr 1971; 47: 39-47
- Dumaret AC, Cousin M, Titran M. Mésusage transgénérationnel de l'alcool. Développement des enfants en milieu défavorisé. Etude et revue de la littérature. Alcoologie et Addictol 2008;30(3):241-249
- Emshoff JG: Prevention and intervention strategies with children of alcoholics. Pediatrics 1999; 103 (5 Pt 2): 1112-1121
- Le Heuzey MF, Isnard P, Badoual AM, Dugas M: Enfants et adolescents suicidants. Arch  Ped   1995; 2 (2): 130-135
- Mac Donald DD, Blume S: The children of alcoholic parents. Am J Dis Childr 1986; 5: 417- 421
- Michaud P: Enfants de malades de l'alcool : pourquoi intervenir et comment ? Alcoologie et Addictologie 2001; 23 (4): 573-574
- Ohlmeier MD, Peters K, Te Wildt BT, Zedler M, Ziegenbein M, Wiese B, Emrich HM, Schneider U. Comorbidity of alcohol and substance dependence with attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD). Alcohol Alcohol .2008;43(3):300-304
- Toutain S, Jejeune C. Vie familiale des enfants porteurs du syndrome d'alcoolisatiob foetale. Alcoologie et Addictologie 2008;30(2):137-146
- Velleman R, Templeton L. Alcohol, drugs and the family. Eur Addict Res 2003; 9: 103-112
- Wilson C, Orford J. Children of alcoholics: Report of a preliminary study and comments of the literature. Q J Stud Alcohol 1978; 39: 121-142

 

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Relire ci-dessus :
Alcoolique (malade de l'alcool) : souffrance quotidienne d'enfant
Alcoolique (malade de l'alcool) : l’incompréhensible pour l'enfant
Alcoolique 
(malade de l'alcool) : l’avenir éloigné de l'enfant

Alcoolique (malade de l'alcool) : de l'espoir pour l'enfant
Alcoolique 
(malade de l'alcool) : intervenir en faveur de l'enfant ?
Alcoolique 
(malade de l'alcool) : prévenir ces souffrances d'enfant


Alcoolique
(malade de l'alcool) : références

 
   
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